Quelqu'un s'est caché dans le grenier et a dirigé un journal. Quelqu'un est venu au camp de destruction et a miraculeusement survécu. Ces personnes ont également écrit des souvenirs et la mémoire est heureusement traversée la pire chose. Mais ce qui reste suffit pour frapper l'horreur et la pitié. Cependant, le sens de l'humour était même un rendement: dans les camps de destruction, il était coutumier de blaguer sur "voler dans la pipe".
Et il y avait aussi l'héroïsme et le sacrifice de soi (y compris pour les enfants inconnus d'autres personnes) et les efforts titaniques pour préserver l'estime de soi et, bien sûr, une volonté énorme de la vie. Besoin de le lire. Juste parce qu'il n'y a pas de meilleur vaccination du mal.Anna Frank. "Refuge. Journal en lettres. "
"Je vis toujours, et cela, selon le pape, est la chose la plus importante."
L'un des documents les plus célèbres de l'holocauste. Anna Frank de 13 ans, juive néerlandaise, deux ans se cachant de l'arrestation et de l'expulsion du camp de concentration dans le grenier de familier avec toute la famille. Elle a conduit un journal dans les lettres d'un ami de fiction - avec toutes les fanbaes, poupées, leçons insupportables et mécontents pour maman. Plus tard, Anna a essayé de recycler ce journal dans le roman, mais n'a pas eu le temps: l'abri couvert la police et, par conséquent, la fille est morte dans le camp. Le journal n'a été publié qu'après sa mort.
Kristina Prielan. "J'ai survécu à Auschwitz."
«Cela sent tout au long du corps humain. Cette odeur est stupide, merveilles, la tête est lourde, versée par le plomb. "
L'étudiant souterrain polonais, connu de la Gestapovtsy comme "Blond Zosya", en 1944, il est tombé à Auschwitz, le camp le plus célèbre des détruisements, miraculeusement et des efforts vécua avant la venue des troupes soviétiques et a ensuite écrit un livre traduit par la suite. de nombreuses langues. Dans le camp, elle a commencé à composer des poèmes sur la vie autour d'elle-même, sur tout ce qu'il a vu et expérimenté à Auschwitz. C'était la créativité que Cristina ait aidé à survivre et à sauver l'esprit.
Vladislav Spiegman. "Pianiste"
«Les gens comme ils pourraient résister à l'envoi à mort. Des escaliers arrosés avec de l'eau, qui se transforma en glace et les Allemands étaient plus difficiles à gravir les sols. "
Avant la guerre, cet homme avec un nom de famille juif qui parle a joué à Chopin sur la radio polonaise. Et après la guerre, il a fait la même chose. Dans l'intervalle, il y avait du ghetto, de l'expulsion, du vol, de la vie dans le grenier et un officier allemand de Meloman, qui, en fait, et sauvé Vladislav - tout cela nous avons vu dans le film "pianiste" Roman Polanski dans le film. Mais le livre écrit par les mots simples du témoin oculaire génial produit une impression encore plus terrible.
Imre cerez. "Sans le destin"
"Je me suis transformé en une sorte de trou, dans la vacuité et je ne pouvais penser qu'à remplir, tais-toi, enlever ce vide sans fond, exigeant et insatiable - la faim."
Une adolescente juive pendant la guerre a été marchée pour la première fois sur la plante de raffinage du pétrole, puis envoyée à Auschwitz et à Buchenwald, où le miracle vivait avant la venue des Russes. Imre était l'obtus de 16 ans habituel sans éducation. Sa vue sur le camp est un regard de très jeune homme sans aucune expérience de vie. Ce fonctionnalité et le manque d'émotions sont terribles surtout - avec la même intonation, il parle de faim, de travail épuisant, de punitions terribles et de meurtres de masse.
Eli Velsel. "Nuit"
«Dans chaque cadavre Seashest, je me suis vu. Et bientôt je vais arrêter de voir, je vais devenir l'un d'entre eux. Une question de plusieurs heures. "
Eli Velel Ensemble avec toute la famille s'est rendu à Auschwitz et en 1944, lorsque les Allemands étaient directement gérés par la Hongrie, à Buchenwald. Les parents, frère et soeur sont morts. Eli et les deux autres de ses sœurs ont survécu. Puis il vivait à Paris, il a étudié à Sorbonne, écrivit sur Idish, Hébreu, Français et Anglais. Toute ma vie, un Vissel essayait de comprendre l'expérience et se demander - comme en principe, était-ce possible? Je n'ai pas trouvé la réponse. En 1986, Eli a reçu le prix Nobel du monde.
Primo Levi. "Est-ce que cet homme?"
"Tout le monde pouvait voir son reflet dans une centaine de visages meurtriers pâles, sur une centaine de personnages déchirés, laids, semblables à des figures en peluche."
Le Juif italien Primo Levi est tombé à Auschwitz en 1944 et a été libéré par les Russes en janvier de la 45e. Après cela, il a écrit plusieurs livres sur le camp - ils sont tous autobiographiques ou étaient basés sur des matériaux autobiographiques. "Est-ce que cet homme" - une histoire simple de la première personne sur la manière de préserver la dignité dans des conditions quand, cela semblerait, la dignité - la dernière chose que vous puissiez penser.
Andrey Vyozhev, Pavel Stetinkinkinkinkine. "Perdu: échapper à Auschwitz."
«Escape était une constante de rêve, obsessionnelle. Par conséquent, les conversations sur le tournage n'ont pas causé le soudage pour ceux qui les entendissent accidentellement. "
Les prisonniers soviétiques de la guerre ont été amenés à Auschwitz en novembre 1941. Un an plus tard, d'environ vingt mille personnes ont laissé tous les deux cents à gauche: au début de la guerre, les Allemands n'ont pas trop de travail, et le camp était tout simplement broyé et détruit des personnes sans aucun avantage. Le 6 novembre 1942, les survivants ont tenté de courir. Il était possible de juste quelques personnes, dont les charges et Stempo, des gens d'une volonté incroyable et de la chance. Ce sont eux qui ont écrit ce livre - une terrible et passionnante simultanée.